1. Une interview à Boris – un officier du ministère de l’Intérieur, en
Ukraine. |
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Qui était avant sa mort |
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INTERVIEWER : — Je vous
présente monsieur Boris Pilipchuk qui est âgé de 36 ans. S’il te plaît, Boris
parle-nous un peu de toi. |
BORIS : — Je suis un
officier, un Lieutenant supérieur dans la force de police. J’ai travaillé
comme un officier de service stratégique dans l’une des sections du quartier
général de la force de police dans le District Khemlnitskij en Ukraine, et
j’ai combattu dans la guerre de l’Afghanistan. Je suis marié et j’ai trois
enfants. Nous habitons dans un village qui s’appelle Novaya Siniavka, dans la
région de Starosiniavskij du District de Khemlnitskij. |
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INTERVIEWER : — Boris, je
sais que tu es un Croyant. Comment as-tu été sauvé ? |
BORIS : — J’étais un
athée convaincu, mais ma femme et ses parents étaient des Chrétiens et
voulurent toujours que je sois sauvé. Un jour, le 16 septembre 1996, le
Pasteur Nikolai Ivashenko, de l’Église du Plein Évangile dans la ville de
Mariopol, il vint à notre village pour une visite à ses parents. Ma femme lui
demanda de me parler un peu, mais en faisant attention, parce qu’en ce
temps-là j’étais très agressif, il me manquait la patience et j’étais
grossier. L’instruction que je reçus de l’armée laissa une marque sur mon
caractère. |
Lorsque je vis le Pasteur
Nikolai, je pensai en moi-même : ‘Je vais te donner une leçon…’. Mais
Nikolai vint vers moi et commença à dire quelque chose, et soudain je
commençai à sentir une telle paix, une telle tranquillité dans mon cœur,
telle que je n’avais jamais expérimentée dès les jours de mon enfance. Je
n’étais habitué qu’à donner des ordres, à recevoir des ordres et à les
exécuter aveuglément. Je me formai dans cette espèce de milieu, dans lequel
la normale interaction humaine était si rare. Lorsque j’écoutai les paroles
de Nikolai et lorsque j’entendis la phrase : ‘Nous allons prier, répète
après moi…’ quelque chose intérieurement subit une transformation. Je répétai
la prière du pécheur. La puissance de l’Esprit Saint vint sur moi et le
Seigneur me baptisa d’Esprit Saint. Depuis lors, je consacrai ma vie au
service du Seigneur. |
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INTERVIEWER : — Ceux qui
étaient autour de toi, comment réagirent-ils à ce changement dans ta
vie ? |
BORIS : — Ma mère, au
début, réagit à tout cela avec beaucoup d’indignation, parce qu’elle n’avait
pas encore connu le Seigneur. Plus tard, il commença l’opposition sur mon
poste de travail, on me menaça de me laisser à la maison ou de me dégrader,
on en arriva même à tenter de me faire retourner dans le péché, mais moi, je
ne fus pas troublé par cela ni m’inquiétai. En d’autres temps, j’aurais été
probablement dans un état de confusion… renoncer à mon grade d’officier
simplement à cause de quelque espèce d’inconvénient, cela me paraissait
absurde. La Parole de Dieu dit que, si vous êtes conduits en tribunal, vous
ne devez pas vous inquiéter d’avance de ce que vous devez dire, parce que je
parlerai pour vous. Et ainsi, moi, n’étant pas inquiète de mon destin, je dis :
‘Vous, vous ne pouvez me faire rien, parce que le Seigneur est avec moi’. Ainsi,
mes officiers supérieurs durent céder à cela. Non seulement les collègues
cédèrent à cela, mais ils commencèrent même à m’écouter avec plaisir lorsque
je leur prêchais pendant ma période de repos. Je parlai à tous du Seigneur,
dans l’espoir de conduire au Seigneur au moins une âme. Je ne vais pas
continuer à décrire les choses horribles que je fis avant le repentir, parce
que le Seigneur me les a toutes pardonnées. Je loue et remercie le Seigneur
pour cela. Le Seigneur pardonne tout péché à quiconque se repent
sérieusement. |
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INTERVIEWER : — Tu es un
militaire et un Croyant. Cela est très insolite. Les gens considèrent-ils normale
cette chose ? |
BORIS : — Je dis à tous
que Jésus-Christ est le Seigneur de tous, et des militaires aussi. Le
Seigneur aime tous de la même manière. On me demande quelques fois :
‘Comment peux-tu servir Dieu, étant un militaire, en maniant des
armes ?’ C’est que la parole de Dieu nous enseigne comment servir le
Seigneur. |
Lorsque Jean-Baptiste baptisa
les gens dans le fleuve Jourdain, les militaires vinrent vers lui et ils lui
demandèrent : ‘Que devons-nous faire ?’ La réponse de Jean-Baptiste
à cette question ce fut qu’ils devaient se contenter de leur solde, c’est
pourquoi ils ne devaient plus se plaindre et n’auraient pas dépassé leurs
limites. Il n’y a écrit nulle part dans la parole de Dieu que les militaires
ne doivent pas servir le Seigneur. Au contraire, nous savons des Saintes
Écritures que deux officiers romains se repentirent et qu’eux et toutes leurs
familles servirent le Seigneur Jésus-Christ. Chaque Croyant a un ministère
distinct aux yeux de Dieu. |
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INTERVIEWER : — Boris, je
vois que tu as une santé parfaite. Avant ton extraordinaire souffrance,
étais-tu dans le même état de santé ? |
BORIS : — Oui. La santé
parfaite constitue une qualité requise indispensable pour entrer dans la
police. Pour nous, il était obligatoire de se soumettre périodiquement à des
examens médicaux. |
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INTERVIEWER : — S’il te
plaît, raconte-moi ce qui t’arriva. |
BORIS : — Je vais
raconter comment le Seigneur m’a ressuscité de la mort. Le 27 juillet 1998,
je rentrai du travail, à mon village. En ce moment, il m’arriva quelque
chose. Je ne peux décrire exactement ce qui m’arriva. J’étais complètement
paralysé et je perdis mes sens. |
Sur la base du compte rendu de
ma femme, après que je perdis mes sens, je fus transporté à toute vitesse à
l’hôpital, au service de réanimation. Le diagnostic des médecins fut –
Hémorragie cérébrale. À l’hôpital, je restai dans un état inconscient pendant
plusieurs jours. Je fus transféré au service de réanimation de la Clinique du
District de Khelmitskij. Les médecins continuèrent à lutter pour me faire
vivre. Mais la crise cardiaque, qui maintenant avançait, ne leur laissa
aucune chance de me faire survivre. |
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INTERVIEWER : — Combien ton
hémorragie cérébrale était-elle grave ? |
BORIS : — Comme je
découvris plus tard, le médecin diagnostiqua une hémorragie interne dans 95 %
de mon cerveau. Tout l’appareillage et les senseurs qui furent attachés à mon
corps, attestèrent la mort. Dans leur rapport médical, les médecins
diagnostiquèrent une hémorragie qui s’était répandue dans tout mon cerveau,
tous les neuf examens faits confirmèrent la mort. |
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2. La mort enregistrée par les Médecins. |
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INTERVIEWER : — Boris,
d’après ce qu’on te dit ensuite, après que les médecins certifièrent ta mort,
appelèrent-ils immédiatement ta femme ? |
BORIS : — Oui, ils
l’appelèrent et elle ne fut pas la seule personne qu’ils informèrent. À vrai
dire, ce qui arriva fut que, toutes les 15-20 minutes, mes collègues
téléphonèrent à l’hôpital a fin d’avoir des renseignements sur ma santé. On
leur dit que je n’étais plus vivant, que j’étais déjà mort. À mon poste de
travail, déjà on recueillait de l’argent pour ma sépulture, on avait déjà
commandé une bière pour moi, la sépulture viennoise et toutes les autres
choses nécessaires pour la circonstance. Bref, on fit tous les préparatifs
pour ma sépulture. Selon moi, je crois que la mort soudaine d’un tel policier,
sain de santé, ce fut un événement stupéfiant qui prit tous au dépourvu. Cela
fut clair de nombreux coups de téléphone à l’hôpital de la part de mes collègues. |
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INTERVIEWER : — Ta femme
était-elle avec toi lorsque tu mourus ? |
BORIS : — Oui, elle était
avec moi, mais il ne lui fut pas permis d’entrer dans la salle de
réanimation. Plus tard, ma femme me dit qu’elle pria continuellement Dieu
pour mon salut. Lorsque les médecins commencèrent à combattre désespérément
pour me sauver la vie, ma femme appela au téléphone le Pasteur Nikolai en
Mariopol. Ma femme lui dit ce qui était arrivé et elle lui demanda de prier
pour moi. Alors qu’il priait, Dieu lui dit que la situation ne conduirait pas
à la mort, mais à la gloire de Dieu. Il tranquillisé ma femme et il lui dit
qu’une Fête Chrétienne avait lieu dans la ville de Mariopol et que tous les
croyants prieraient pour moi. Ils prièrent. Pendant cette période, les
événements à l’hôpital montaient. Les médecins informèrent ma femme de ma
mort, et, après deux heures, il lui fut permis d’accompagner mon corps sur le
brancard jusqu’à la porte de la morgue. |
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3. Informations médicales sur la chance qu’a une personne morte de
revenir à la vie |
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INTERVIEWER : — Pour une
compréhension d’un point de vue médical, nous faisons référence à une liste
de publications médicales. Dans la Concise Medical Encyclopedia (par les
soins de la ‘Soviet Encyclopedia’, 1974), il est écrit ce qui suit : |
L’hémorragie cérébrale est
définie comme le bouleversement de la normale circulation du sang dans le
cerveau, qui a comme conséquence la mort du matériau cérébrale (Partie 1,
page 506). |
Le ressuscitement d’un
organisme (réanimation) est défini comme la restauration d’un bouleversement
soudain ou d’une perte totale de la vie qui soutient les fonctions d’un
organisme. La mort clinique est le dernier stade, réversible, de la mort d’un
organisme d’au moment où la respiration et la circulation du sang cessent
jusqu’au début de changements irréversibles dans le système nerveux central,
après quoi la mort va sous le nom de mort biologique. La durée de la mort clinique
dépend de la cause qui a engendré le développement d’une condition terminale,
la durée de l’agonie, l’âge, etc. À des températures normales, la mort
clinique dure pendant une période de 4-6 minutes, après quoi la restauration
des activités normales du système nerveux central devient impossible. |
Les procédés de la réanimation
devraient être commencés dès qu’il a été démontré la mort soudaine. Il est
conseillé aussi de ne pas permettre la complète cessation de la respiration
ou du battement cardiaque. Si le battement cardiaque n’est pas rétabli, il
est conseillé de continuer à accomplir les procédés de réanimation jusqu’à ce
qu’ils se révèlent efficaces. Les signes de l’efficacité : disparition
de la cyanose, observation d’une respiration difficile spontanée (plus tôt
elle commence, mieux c’est le pronostic), la pulsation de gros vaisseaux
sanguins conformément au rythme du massage, rétrécissement des pupilles. Si
ces signes ne paraissent pas en l’espace de 20-25 minutes, les procédés de
ressuscitement devraient être interrompus (Partie 2, page 270-271). |
Je sais que les médecins ont
quelques règles, qui ne peuvent jamais être violées par personne en aucune
entreprise médicale. Dans leurs règles, une personne qui gît en réanimation,
dans une condition de mort biologique, elle ne devrait pas y rester plus de 2
heures, et seulement après cette période de temps la personne peut être
transportée à la morgue. |
Cela signifie qu’après avoir
démontré le fait que Boris était dans une condition de mort clinique, les médecins
luttèrent pendant 30 minutes pour lui sauver la vie, et après avoir constaté
une condition de mort biologique, il ne passa pas moins d’autres 2 heures,
pour la période de temps qu’il fut dans le service de réanimation. Ce qui
signifie que les procédés irréversibles et la mort du matériau cérébrale
étaient déjà commencés, vu que le temps nécessaire pour le ressuscitement
après la mort clinique dure environ 4-6 minutes. En ce cas, la personne est
complètement morte. La mort de Boris fut confirmée par les médecins et par
l’appareillage médical qui était relié à son corps. |
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4. ‘J’ai vu le Paradis’ – Boris |
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INTERVIEWER : — Et
maintenant, Boris, raconte-nous comment tu te sentis. Qu’est-ce que tu
vis ? |
BORIS : — Je me sentis
comme si j’étais conscient. Je commençai à voir de mes propres yeux, ce qui
arriva après un coup intérieur dans le corps. Je commençai à voir toutes les
choses comme de haut. Mon âme sortit de moi et je regardai mon corps. Les
médecins habillés de longs vêtements blancs s’étaient rassemblés autour de
moi. De nombreux appareillages furent reliés à mon corps. Les médecins
tentèrent de me porter à une condition normale, ils coururent tout autour et
appliquèrent toute mesure possible. Mais tous leurs efforts ne servirent à
rien. |
Alors, je commençai à monter
de la terre. La terre devint de plus en plus petite. Elle devint si petite,
et puis elle disparut complètement. Mon transport fut accompagné d’un continu
sifflement dans mes oreilles. Puis j’arrivai dans un lieu extraordinaire, qui
était si éclairé que je commençai à me sentir bien. Je vis une échelle en or,
qui émanait des rayons de gloire. L’échelle était plutôt large. Sur les deux
côtés de l’échelle, il y avait des barres en or, le long lesquelles, du bas
jusqu’au sommet, il y avait des anges ailés vêtus de blanc, ayant des
ceintures d’or. Leurs cheveux étaient blancs, leurs visages resplendissaient
beaucoup, comme l’éclair, leurs yeux étaient comme deux lanternes. Ils
avaient des visages humains. La couleur de leurs mains et de leurs jambes
était comme celle d’éclats de cuivre resplendissant. Extérieurement les anges
étaient comme les hommes. Autour de l’échelle et au-dessous d’elle, il se
tenait debout un grand nombre d’anges dont je ne peux décrire le nombre. Ces
anges-ci étaient sans ailes. Tous les anges chantaient des psaumes. Et de
façon surprenante je ne savais pas en quelle langue ils chantaient, mais en
ce moment-là je compris totalement les paroles du psaume. Ils
chantèrent : ‘O Seigneur, tu es digne de toute la gloire et de toute la
louange. Toi, Seigneur, tu créas les cieux et la terre. Tu es digne de notre
louange !’ |
Puis je vis une lumière
extraordinaire au bout de l’échelle. Mais la lumière n’était pas comme celle
du soleil ou d’une soudeuse, laquelle a un effet nuisible sur les yeux. La
lumière était extraordinairement intense, mais elle ne faisait pas du mal aux
yeux, elle était chaude, apaisante, pleine de joie et de paix. J’étais plein
de joie, au point que de simples mots ne peuvent décrire comme je me sentais.
Ma joie continua à augmenter et il n’y eut aucune limite à la joie que
j’éprouvai. Je ne sais pas comment décrire en mots cette vision et cette
sensation, mais je voudrais que vous imaginiez l’image que le Seigneur me
montra. Plus tard, j’entendis une voix venant du lieu où était la
merveilleuse lumière, qui dit : ‘Mon fils, viens à moi et je te vais
montrer quelque chose. Je vais t’aider’. |
Du milieu du grand nombre
d’anges, deux anges vinrent derrière moi. L’un était à ma gauche et l’autre à
ma droite, juste à peu de distance de moi. Je ne tournai pas en arrière la
tête, je ne regardai pas derrière moi, et je ne regardai pas autour de moi, mais
il paraissait que je pouvais regarder à 360 degrés autour de moi. Je n’étais
pas nerveux et je n’éprouvai aucune forme de gêne. J’étais complètement calme
et si heureux au point que je ne peux décrire comment je me sentis ni alors
ni maintenant. Je ne fis aucune question à personne, comme : ‘Où me trouvé-je ?
Qu’est-ce qui m’est arrivé ? Qu’est-ce qui arrivera plus tard ?’ Je
me sentis complètement confiant en moi-même, comme si j’étais dans un lieu
familier. Je me sentis comme si je vivais d’une façon permanente dans ce
lieu. |
Puis l’Esprit Saint me
transporta dans une vaste plaine, dans laquelle des chevaux très beaux
sautillaient. Au centre du champ, il y avait une très grande ville en forme
de cube. Lorsque je la remarquai, je commençai à m’approcher d’elle. Mais je
m’approchai de la ville d’une manière différente, non comme un homme marche
normalement sur le sol. Je me déplaçai sans que mes pieds touchent par terre,
c’était comme si je glissais. Les anges m’accompagnèrent. Plus près de la
ville je m’approchai, plus intense ce fut le plaisir que j’expérimentai par
ce que je vis. |
Il y avait des murs très
hauts, qui étaient multiples en nombres et de différentes couleurs. Il y
avait en tout 12 couleurs qui émanaient des rayons et elles brillaient comme
une lumière resplendissante. (Plus tard, après ma résurrection, lorsque
j’étudiai les chapitres 21-22 du livre de l’Apocalypse dans la Bible, je
trouvai une confirmation de ce que j’avais vu). Je vis les fondements de la ville, qui
étaient faits de 12 pierres précieuses de ce monde. Je vis une porte de
perle, trois portes sur chaque mur. La porte de perle était très grosse, plus
haute de deux mètres. Je ne mesurai pas les portes, mais selon moi une perle
était plus grande de deux mètres. Je ne vis que six portes, parce que le
Seigneur me conduisit dans la ville par un de ses coins. Je vis les deux
côtés du cube. Puis le Seigneur me conduisit par l’une des portes dans la
ville, comme nous passâmes par les portes, je vis deux inscriptions. L’une
d’elles était au-dessus de la porte et la seconde était au-dessous de la
porte. L’un des noms des tribus d’Israël était écrit au-dessus de la porte,
et au-dessous de la porte il était écrit le nom d’un Apôtre. |
Malheureusement, je ne sais
pas quelle est la porte par laquelle le Seigneur me conduisit dans la
Nouvelle Jérusalem, mais maintenant j’aimerais le savoir. |
Lorsque j’entrai dans la ville
par les portes, je restai immobile en admiration : la ville était faite
complètement d’or. L’or était pur et, moi, précédemment je n’avais jamais vu
une telle splendeur. J’avais vu combien les objets d’or resplendissaient dans
les magasins de bijoux, mais cette splendeur n’était pas comparable à cette
splendeur que je vis en ce moment-là. Rues d’or, maisons d’or, portes d’or –
tout était fait d’or, transparent comme du verre. Je n’aurais jamais pu
imaginer que l’or pouvait apparaître transparent et si pur. Je lus cela dans
la parole de Dieu, mais je ne pouvais pas en réalité l’imaginer, cette
question m’était cachée. Je ne pouvais vraiment imaginer comme un métal dur
pouvait être transparent. Maintenant que je le vis, je voulais vraiment le
toucher. Je touchai les murs, j’entrai dans quelques maisons et je scrutai
tout. Je ne demandai pas aux anges où devais-je aller de ce lieu. Il semblait
que je connaissais la rue. J’étais écrasé par une telle sensation comme si je
me trouvais dans un lieu tout à moi. |
Alors que je poursuivis mon
chemin dans la ville, près du centre, je vis un grand arbre dans ce lieu.
L’arbre avait des fruits en forme de poire sur lui. La dimension du fruit
était à peu près la dimension de deux poings de grandeur moyenne mis
ensemble. Les feuilles sur l’arbre me rappelèrent les feuilles d’un arbre de
tilleul [lime tree], mais elles
étaient plus grandes et comme des feuilles de bardane [burdock]. Lorsque j’arrivai près de l’arbre, je voulus prendre un
fruit de lui et je commençai à tendre la main pour en prendre un. Soudain
avec enthousiasme, je fus surpris que la main que j’avais étendue n’était pas
comme une main normale, mais elle était transparente. Lorsque j’allais
cueillir un fruit, l’ange qui était à peu de distance derrière moi, sur le côté
droit, il étendit la main et il m’arrêta. En gesticulant du doigt, il me dit
que pour le moment je ne devais pas cueillir le fruit. Puis il arriva quelque
chose que je ne m’attendais pas ; sans aucune espèce de chagrin et de
déception pour l’action de l’ange, je quittai l’arbre. Parlant de façon
générale, dans la ville, je n’expérimentai jamais aucun genre de gêne ou de
confusion. Lorsque je quittai l’arbre, je vis une lumière extraordinairement
resplendissante au centre de la ville. Ce fut très intéressant que je ne vis
aucune ombre, ni due aux arbres ni aux maisons non plus. Il n’y avait pas
d’ombres dans ce lieu ni de lampes non plus. Je ne vis pas le soleil, et pas
même quelque objet qui donnait de la lumière, mais la lumière était
extraordinairement resplendissante et si agréable aux jeux, au point que
j’étais très heureux outre mesure. Je ne peux décrire de façon adéquate par
des mots l’insolite et extraordinaire condition de mon âme… |
Lorsque je vis le centre de
l’éclairage, je baissai la tête et je sentis une écrasante impulsion à plier
les genoux, mais l’ange me soutint et j’entendis une voix : ‘Mon fils,
je t’ai montré tout ce qui t’est nécessaire en ce temps, et maintenant tu
dois retourner, pour proclamer Ma Gloire, mon pouvoir et ma domination, pour
proclamer tout ce que tu as vu et entendu’. Alors, je commençai à prier et à
implorer le Seigneur, en lui demandant de me faire rester dans ce lieu, où je
me trouvais. Je m’écriai : ‘Seigneur, je ne veux pas retourner’. Mais le
Seigneur me dit : ‘Tu as une femme et trois enfants. Tu dois retourner
pour eux, parce qu’il n’est pas encore arrivé le temps pour toi d’être ici’. Alors,
je commençai de nouveau à implorer le Seigneur : ‘Seigneur, je ne veux
pas retourner. Permets-moi de rester près de Toi’. Mais le Seigneur me
dit : ‘Mon fils, sois doux et sobre, ne murmure pas, retourne. Tu dois
proclamer Ma Gloire’. |
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5. Panique parmi le personnel de l’hôpital |
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BORIS : En un clin d’œil,
je me déplaçai dans l’espace à une telle distance que je vis la terre à laquelle
maintenant je m’approchais. Lorsque je m’approchai, je vis la scène suivante :
mon corps était porté par le personnel de l’hôpital sur un brancard dans une
pièce où les corps des gens étaient gardés. Quelques-uns des corps avaient
des incisions faites sur eux. Je compris qu’ils me portaient à la morgue. En
d’autres mots, en regardant de haut, je ne vis que comme ils me portaient, je
ne vis pas précisément que c’était moi qu’ils portaient, parce que le corps
était couvert d’un linge et l’on ne pouvait voir que les pieds. Lorsque je
vis ma pleurante femme qui accompagnait le brancard, je compris que c’était
moi celui qu’ils portaient. Un membre du personnel de l’hôpital la
réconfortait, en cherchant à lui dire de ne pas s’affliger de l’incident et
il essaya de lui empêcher d’entrer dans la pièce où ils portaient le corps
sur le brancard. Je vis cela comme de haut. Je compris que j’avais été porté
à la morgue. Lorsque les portes furent fermées devant ma femme et le brancard
avec mon corps sur lui c’était déjà dans la pièce, les gens commencèrent à
s’éloigner. Ces gens étaient les garçons de salle et les infirmières qui
m’avaient porté à la morgue et qui étaient en train de consoler ma femme. |
Lorsque je vis tout cela, je
sentis un coup ou plus précisément une secousse et immédiatement j’entrai
dans mon corps. À cet instant, j’entendis le vent souffler, une force énorme,
qui ouvrit grand avec violence les portes par lesquelles j’avais été porté
dedans. Cette force tira les portes de ses gonds et elles tombèrent sur le
sol et la force poussa le chariot avec le corps hors de la morgue. Après cela
je me levai. La partie supérieure de mon corps s’assit sur le chariot et le
linge tomba du corps. Le garçon de salle qui marchait le long du mur de même
que l’infirmière tombèrent par terre. Les deux gisaient à terre dans un état
de terreur. Une autre infirmière vint, et lorsque me vit assis, elle entra
dans un état de choc. Cette même puissance surnaturelle fit dresser debout
verticalement le chariot sur lequel j’étais assis, et je restai verticalement
sur le sol de mes pieds. Puis le chariot tomba dans sa position normale et se
retira à l’intérieur de la morgue. |
Je voulais marcher, mais je ne
pouvais pas. Mon corps ne répondit pas. J’expérimentai cette sensation,
c’était comme si je n’étais pas dans mon propre corps. Alors, je commençai à
prier, parce que mes sens redevenaient normaux. Je vis tout, je reconnus
tout, j’entendis tout, mais je ne reconnus pas la voix que j’entendis, la
voix traînait. Cette sensation était comme si une cassette audio allait à une
vitesse plus basse que la normale. Aussitôt, je commençai à invoquer le
Seigneur afin que le Seigneur me donne la force pour marcher. Lorsque je
terminai de prier, je sentis une grande effusion d’énergie. Je me sentis
comme si les cheveux de ma tête tombaient et un millier d’aiguilles piquèrent
mon front. Je reçus une telle effusion d’énergie que je me sentis comme si
mes pieds étaient dans le goudron. Je sentis une chaleur et une grande
puissance de la tête aux pieds. Je commençai à marcher, selon comme l’Esprit
Saint me conduisit, dans la direction de la salle des médecins où tous les
médecins étaient assis. Sans le vouloir, je possédais une orientation
parfaite du plan de l’hôpital, comme si j’avais été ici comme militaire en
plusieurs circonstances. |
Ma femme tomba à genoux en
rendant grâces au Seigneur parce qu’il m’avait ressuscité. Lorsqu’elle revint
à soi, prit un linge et elle me courut après pour couvrir ma nudité, parce
que j’étais complètement nu. Alors que je continuais à marcher, tout le
personnel de l’hôpital courait en diverses directions, en criant. Quelques-uns
d’entre eux tombèrent sur le sol, tandis que d’autres s’enfermèrent dans les
salles. Ma femme me rejoignit juste lorsque j’approchais de la salle des
médecins et elle m’enveloppa avec le linge. J’arrivai à la salle des médecins
et j’ouvris la porte de la salle d’une légère poussée. Plus tard, j’appris
que la salle avait été fermée à clef par les médecins, et que des armoires
avaient été mises derrière la porte à l’intérieur a fin d’empêcher d’entrer
dans la salle. La porte s’ouvrit facilement devant moi. La puissance du
Seigneur ouvrit cette porte. |
Lorsque j’entrai dans la
salle, quelques-uns du personnel de l’hôpital étaient terrorisés, tandis que
d’autres étaient au coin, criant frénétiquement : ‘Qui es-tu ? Que
veux-tu de nous ? Laisse-nous tout seuls !’ |
Je les tranquillisai et je
dit : ‘N’ayez pas peur, donnez-moi des vêtements’. En les regardant en
face, je vis qu’ils étaient froids comme la pierre, pleins de peur et d’une
horreur indescriptible. Je compris qu’il n’avait aucun sens d’expliquer ma résurrection
à ces pauvres médecins terrorisés. N’importe quelle chose je leur aurais dit,
ils ne m’auraient pas prêté d’attention. La seule chose qu’ils pouvaient entendre,
c’était le battement de leur cœur. Je répétai : ‘Donnez-moi mes
vêtements et j’irai à la maison’. Les médecins me laissèrent partir
rapidement parce qu’ils étaient dans un tel état de terreur à cause de ma
présence. Lorsque je sortis de la salle des médecins, je restai quelque temps
debout dans le couloir, et de façon surprenante, mes quatre premiers pas
laissèrent derrière quelque chose comme une trace d’eau quoique je sois
complètement sec et le linge qui m’enveloppait soit lui aussi sec ! Je
m’habillai. Ma femme appela une voiture par téléphone et nous allâmes chez
nous. |
INTERVIEWER : — Boris, je
peux imaginer la panique et le choc des médecins lorsqu’ils te virent. Ce
qu’ils virent, sans aucun doute, cela ne s’adaptait pas à l’instruction
qu’ils reçurent dans l’école médicale ou à ce sur quoi ils étaient tombés
pendant l’exercice de leur profession médicale. Il est clair que ce ne fut
pas la mort à les effrayer parce qu’ils la rencontrent tous les jours. Ton
être revenu à la vie c’est simplement incompréhensible à l’esprit humain.
C’est un fait établi et tout le monde sait que les caillots de sang, dans une
partie fermée du cerveau, ne pouvaient aller nulle part, et en plus
considérant que le degré de l’hémorragie était de 95 %. Il ne pouvait y avoir
été absolument aucune erreur. Après avoir lutté inutilement pour te sauver la
vie, ta mort fut confirmée. Tout l’appareillage relié à ton corps confirma ce
fait. Tu restas mort en leur présence assez longtemps, à peu près 2 heures et
30 minutes. Après cela tu fus porté à la morgue. L’irréversible processus
dans le système nerveux central s’était produisit depuis quelque temps. Et il
en résulta que l’homme qui était mort, non seulement il respira, mais marcha
de ses pieds et même il parla normalement. De fait, les médecins comprennent
combien c’est difficile et combien de temps il y a besoin pour la réanimation
afin qu’un patient qui a souffert d’hémorragie cérébrale se rétablisse. Les
médecins ne s’attendaient pas un tel miracle. |
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Et en outre, la résurrection
fut accompagnée par une telle puissance de l’Esprit Saint au point que les
portes furent tirées de leurs gonds et tombèrent sur le sol avec un tel
bruit. Le chariot sortit de la morgue, il se retourna et puis il revint à la
morgue. Tout cela arriva à la présence du personnel médical. La nouvelle de
ta résurrection t’avait déjà précédé. Les médecins s’étaient déjà enfermés à
clef dans la salle des médecins et ils avaient barricadé la porte. Le fait de
la porte qui s’ouvrit par la puissance de l’Esprit Saint, ce fut quelque
chose qu’eux, simplement, ils ne comprirent pas. Ils étaient dans un état de
peur. Les événements qui eurent lieu furent justement trop incroyables pour
être compris du normal esprit humain… |
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6. Collègues de travail stupéfaits |
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INTERVIEWER : — Et ainsi,
nous nous étions arrêtés au moment où tu allais chez toi en voiture.
Qu’est-ce qui arriva ensuite ? |
BORIS : — J’étais sur la
route, en parfaite santé, assis sur le siège avant de la voiture. Pendant le
voyage, à l’intérieur de notre district, il arriva que nous nous approchâmes
d’un gardien de la route, un véhicule d’un officier d’inspection avec qui il
m’était arrivé incidemment de travailler. Lorsqu’il me vit, s’affaissa au
sol. Il resta assis sur le sol, stupéfait, pendant beaucoup de temps. Ma
femme me demanda de sortir et de lui dire : ‘Tout va bien, et je suis
vivant’. Moi, je lui dis : ‘Je ne vais pas le faire parce qu’il peut
finir par mourir de peur’. |
Le chauffeur de la voiture
dans laquelle nous voyagions, il dut entrer dans la ville pour quelques
affaires personnelles qu’il régla rapidement. Nous poursuivîmes notre voyage
dans le village, et un policier dont nous avions doublé la voiture, il
augmenta la vitesse et il nous rattrapa pour me regarder mieux, pour être sûr
que c’était vraiment moi. En voyant que c’était moi, il enleva le képi, il
épongea la sueur de son visage, il haussa les épaules et il continua à
conduire. Après que j’arrivai à la maison, en parlant littéralement, en
trente minutes mon officier supérieur vint chez moi pour découvrir si j’étais
vraiment vivant ou si le policier qui nous avait rencontrés dans la rue,
c’était fou. Ils ne pouvaient vraiment croire qu’après tout ce qui était
arrivé, moi, non seulement je n’étais pas en réanimation, mais j’étais à la
maison en parfaite santé. Ils ne pouvaient comprendre cette chose. Lorsque je
sortis pour les saluer, ils eurent peur et commencèrent à reculer comme si
ils avaient vu un fantôme. Je leur demandai de s’asseoir et je commençai à
leur parler de ma résurrection. Ils commencèrent à faire des signes de la
tête, mais leurs visages révélèrent si frayeur qu’ils ne crurent pas à un
seul mot de toutes les choses que je leur dis ni écoutèrent tout ce que je dis.
Ils cherchèrent à s’en aller le plus tôt possible, ainsi ils ne seraient pas
restés autour de moi pendant beaucoup de temps. |
Le lendemain, lorsque
j’arrivai au travail, mon officier supérieur ne me permit pas de commencer
mes devoirs. Il dit : |
|
— ‘Je ne te permet pas de
travailler, parce qu’après une hémorragie cérébrale et d’autres maladies
semblables que les médecins ont découvertes en toi, tu devrais avoir été
catalogué comme un invalide. En considérant ta mort et ta mystérieuse
résurrection…’ |
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— ‘Mais, toi, crois-tu à tes
yeux ?’ – lui demandai-je |
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— ‘J’y crois’ me dit-il. |
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— ‘Peux-tu m’entendre ?’ |
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— ‘Je peux t’entendre’
répondit-il. |
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— ‘Peux-tu me voir ?’ –
Continuai-je à demander. |
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— ‘Je peux te voir’ – dit-il. |
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— ‘Alors, pince-moi parce que
peut-être tu ne me vois pas bien. Je suis aussi sain que toi’ – lui dis-je. |
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— ‘C’est impossible’, dit-il. |
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7. Déductions faites par la Commission Médicale – Complètement sain. Il
peut poursuivre son service. |
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INTERVIEWER : — Boris, tu
as parlé de la réaction de tes collègues. Mais comment les médecins réagirent-ils ? |
BORIS : — Oui, pendant
deux semaines, 15 différentes commissions médicales accomplirent sur moi des
examens médicaux, afin de déterminer si je pouvais rester en service. Les
médecins voulaient démontrer qu’au moins il devait exister des effets secondaires.
Et que c’était impossible que toutes les choses fussent simplement évanouies
sans laisser une trace. Mais toutes leurs radiographies et toutes leurs
investigations affirmèrent seulement que j’étais complètement sain. |
Un groupe de médecins,
principalement des psychiatres et des neuropathologistes, arrivèrent à une
opinion commune, que j’allais absolument bien, que je pouvais être admis dans
un groupe d’Astronautes. Il me fut permis de continuer mes devoirs comme
officier de service dans le bureau du district de police. |
Les médecins aboutirent à une
conclusion, que je suis bien, toutefois jusqu’à présent ils sont tous dans un
état de confusion. Alors que la commission médicale était en train
d’accomplir ses devoirs et lorsque les médecins affirmèrent que j’allais
complètement bien, ils ne crurent pas à leurs yeux. Quelques-uns d’entre eux
dirent que s’ils n’établiraient pas personnellement le diagnostic, fondé sur
des rayons X, sur des cardiographes et sur beaucoup d’autres investigations,
ils n’y croiraient pas. Comment les caillots de sang purent-ils disparaître
tout seuls à l’intérieur du cerveau, sans aucun procédé chirurgical ? |
Les médecins me demandèrent de
garder le silence sur toute cette affaire, autrement les gens auraient dit
que j’étais fou. Mais je sais que tout mensonge est un péché, comme il est
écrit dans la parole de Dieu, que tous les menteurs auront leur part dans
l’étang ardent de feu… et qu’ils n’hériteront pas le Royaume de Dieu. Je dis
aux médecins : ‘Car justement le motif pour lequel je suis sur la terre,
après tout ce qui m’est arrivé, il ne me donne pas le droit de garder le
silence. Parce qu’il est écrit dans la Parole de Dieu que si vous gardez le
silence alors ‘les pierres crieront’. Ils répondirent : ‘Bien, ce sont
tes affaires. Nous n’enregistrerons pas ta résurrection’. |
Mais les médecins qui
m’avaient soigné, qui avaient prononcé le diagnostic et par la suite ils
certifièrent ma mort, ils se repentirent tous. Ils acceptèrent tous le
Seigneur Jésus comme Sauveur. |
Je voudrais dire quelque chose
d’autre en plus, que Dieu ne ressuscite pas une personne pour la laisser
paralysée. Il me ressuscita et il me donna une complète guérison. |
Je fais cette affirmation, que
Dieu n’est pas un être abstrait, Il est un personnage qui parla avec moi. Il
est réel, et le Paradis est réel. |
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8. Qu’est-ce qui signifie tout cela ? |
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INTERVIEWER : — Je
demande gentiment au Pasteur Ancien de l’Église Biblique de la Word of Faith,
Pasteur Sunday Adelaja, de commenter ce qui est arrivé à Boris. |
SUNDAY ADELAJA : — Savoir
qu’une personne est ressuscitée de nos jours, c’est une chose
sensationnelle ! Lorsque les gens entendent parler de cela, alors la première
chose qu’ils pensent c’est que cela ne peut arriver. Une fois mort, toujours
mort. Au contraire, ce fut ou une mort clinique et les médecins furent en
mesure de ressusciter une personne ou une exagération – et les gens
diront : ‘En réalité, aucune mort ne fut enregistrée ; il ne s’agit
que d’une invention. Bref, il peut être arrivé n’importe quelle autre chose,
mais non pas la résurrection, et en plus… quoi Dieu ?’ Celle-ci n’est
qu’une invention ! Nous sommes des gens intelligents et nous ne pouvons
être trompés’. C’est la manière dont la plupart des gens raisonnent. |
Mais n’ayez pas hâte à tirer
une conclusion. En examinant et en pensant à cette affaire, parlons de ce que
la Bible dit sur Dieu et sur la résurrection. |
Les savants ont déjà abouti à
une conclusion, que la Bible contient des faits historiques. L’existence de
Jésus-Christ comme un personnage historique, c’est un fait que personne
aujourd’hui ne conteste. Les enseignements de Jésus-Christ et Ses œuvres nous
confirment qu’Il est le Fils de Dieu, qu’Il est Dieu Même. Cela fut confirmé
par des signes et des prodiges (lis le Nouveau Testament). Il lui a été donné
tout pouvoir dans le ciel et sur la terre (Mt 28/18 ; Job 42/2). Dans la
Bible, des cas de personnes ressuscitées sont enregistrés. Les sceptiques
disent : ‘Mais tout cela arriva au temps de Jésus, Jésus lui-même fit
cela, Dieu Même’. Mais dans la parole de Dieu, il est écrit que le Seigneur
ne change pas, qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours (Mal
3/6 ; Hé 13/8). |
Lorsque nous parlons de
quelque chose d’idéal, cela signifie que cette chose ne peut être
ultérieurement perfectionnée. Dieu est parfait (Mt 5/48) et donc Il ne change
pas. Ainsi ce qu’Il fit précédemment, Il le fera de nouveau. Sa parole ne
change pas (Es 45/23 ; Tite 1/2). Il est la vérité (Jé 10/10). Il est
éternel (1 Ti 1/17 ; Ps 89/4). Il est le Créateur du ciel et de la terre
(Ge 1/1 ; 2/4 ; Actes 4/24). |
Les voies du Seigneur ne
peuvent être sondées (Es 40/28 ; Ro 11/33, Job 5/9 Job 11/7). Il est
difficile pour l’esprit humain de comprendre pleinement le Dieu tout-puissant.
Mais les gens souvent évaluent Dieu par leurs propres critères, ils cherchent
à gagner une compréhension de comment Il accomplit, de ce qu’Il veut faire.
Mais cela est simplement illogique de la part de l’humanité. L’homme n’est
pas comparable à Dieu, et il ne peut pas même comprendre Son habileté (Job
11/7 ; Ps 144/3). |
Les croyants ont un problème
particulier ; Ils pensent de cette façon : ‘Si je ne peux
comprendre cette chose, comment Dieu fait-il à faire cette chose, alors cela
signifie simplement que cette chose ne peut être’. Mais ils oublient qu’en
étudiant les lois de la physique, ils ne discutent pas le fait qu’ils ne
peuvent voir qu’un étroit spectre de la radiation de la lumière, ou seulement
entendre déterminées fréquences sonores, etc. La limitation de la capacité
humaine est évidente. |
Tous comprennent que pas tous
peuvent devenir des artistes, des chanteurs, des mathématiciens, ou des
opérateurs mécaniques, etc. Par exemple, quelqu’un ne se mettrait jamais à
jouer aux échecs avec un grand maître d’échecs ayant effectivement évalué son
habileté dans ce jeu. Mais l’homme a l’audace de déterminer la valeur de Dieu
et il fixe Ses capacités. Par exemple, les hommes demandent : ‘Dieu
peut-il ressusciter une personne ?’ Les gens aiment critiquer Dieu et Son
œuvre. Les gens cherchent même à mettre en doute Dieu, qu’Il ne peut avoir
fait une chose de la façon attendue ou qu’Il peut avoir fait quelque chose
d’autre pas correctement. C’est une absurdité. Cela signifie qu’une personne
juge son Créateur et un vase d’argile commande le potier en disant :
‘Que fais-tu ?’ (Es 29/16 ; 45/9, Ro 9/20-21). |
Nous sommes si fascinés par la
merveille de la création, mais beaucoup de gens nient la sagesse et
l’intelligence qui l’ont produite. Ils affirment que la nature même est assez
ingénieuse. Ils concluent qu’il n’y a aucun Créateur qui s’attribue le mérite
d’une telle perfection. Mais si vous leur montrez une télévision ou une
montre, ils vous diront que ces choses-ci ont été créées par un esprit
intelligent, et qu’elles ne sont pas sorties de leurs-mêmes. Maintenant,
voyez-vous la contradiction et le paradoxe de cette façon de raisonner ? |
En regardant la Bible, j’ai
médité sur la résurrection de Lazare… Jésus-Christ aimait Lazare et ses sœurs
Marthe et Marie (Jean 11/5, 35, 36). Je pensais : ‘Pourquoi Jésus retarda-t-il,
en sachant que Lazare allait mourir ? Pourquoi n’alla-t-il pas
immédiatement sauver son ami ? Pourquoi permit-il qu’il arrive sa
mort ? Jésus-Christ n’arriva que quatre jours après, lorsque le corps
avait déjà commencé à se putréfier (Jean 11/39). Je compris que Jésus permit
cela pour convaincre tout le monde que Lazare était vraiment mort, de sort
que par sa mort, il aurait été révélé la Gloire de Dieu, sa Puissance et sa
Force. Il nous montra qu’il n’y a rien d’impossible pour Lui. |
En écoutant le témoignage de
Boris Pilipchuk et en le voyant tout à fait sain, nous voyons la main de Dieu
en cette chose. Dieu a accompli un miracle en accord avec sa volonté… ‘Je
ferai tout ce qui me plaît’, dit le Seigneur (Es 46/10). En ces derniers
jours, le Seigneur a décidé de Se révéler par l’homme, en ce cas-ci par
Boris. Nous ne pouvons nier le fait de la résurrection de Boris. Celle-ci a
eu lieu de nos jours, justement comme quand le Seigneur Jésus-Christ ressuscita
Lazare. |
Croire en la résurrection est
une affaire personnelle de tous. Dieu a donné à l’homme la liberté de
choisir. Souvenez que lorsque Jésus fut ressuscité des morts, pas tout le
monde crut. Mais le fait de la résurrection ne dépend pas de nos opinions. Un
fait est un fait. Nous ne pouvons obtenir la vie éternelle que si croyons en
Jésus et en sa résurrection (Jn 3/36). Il est le Chemin, la Vérité, et la Vie
– Jn 14/6 |
Je crois que, par ce
témoignage, beaucoup d’yeux seront ouverts. Les gens le comprendront, que
Dieu accomplit des choses, qu’Il est vivant, Réel et le Tout-Puissant. Ils
comprendront qu’il y a une vie éternelle qui est préparée pour nous. |
‘Qui a cru à notre
prédication ? À qui a été révélé le bras du Seigneur ?’ – Es 53/1,
c’est-à-dire à qui a été révélé la Puissance du Seigneur ? |
Que le Seigneur puisse bénir vous
tous et révéler soi-même à vous tous. |
INTERVIEWER : — Pour
conclure, j’exprime ma confiance que beaucoup qui ont appris le témoignage de
Boris, ils seront convaincus que pour Dieu il n’y a rien d’impossible et
qu’Il accomplit des miracles de résurrection de nos jours. |
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Tiré de : http://www.word-of-faith-ch.org/ |